L’éducation sexuelle: une autre intrusion de l’État

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Peu importe la religion que l’on pratique, qu’elle soit théiste, athéiste ou agnostique, l’éducation sexuelle appartient aux parents et non à l’État, c’est une question de droit et de liberté.

Chaque famille a sa façon de voir la sexualité et c’est bien que ce soit ainsi parce qu’une société se bâtit par la force de ses familles. Ce n’est donc pas à l’État d’enseigner quand commencer nos premières relations sexuelles, avec qui et dans quel contexte.

Un programme qui éveille prématurément

Le programme d’éducation sexuel en Ontario n’a rien d’inspirant et celui du Québec veut s’y inspirer; plus ça change, plus c’est pareil. Au contraire, ce programme sexualise hâtivement les enfants; plutôt que de cheminer avec l’enfant, il l’éveille prématurément. Chaque enfant a son rythme et c’est le parent, règle général, qui est le mieux placé pour discerner quand l’enfant est prêt à en discuter.

Le rôle de l’État : équiper le parent

L’État n’a pas à usurper le rôle du parent. C’est pourquoi, le rôle de l’État, en matière d’éducation sexuelle, devrait se limiter à la formation des parents. Est-ce extrémiste comme souhait ? Est-ce extra-terrestre comme requête ? Aujourd’hui, avec la technologie, l’État peut renseigner les parents, les accompagner, répondre à leurs questions et les équiper à remplir leur rôle plus efficacement. L’État pourrait mettre ses meilleurs spécialistes à la disposition des parents pour guider ceux qui ne réussissent pas à créer un climat de confiance chaleureux pour parler du sujet. Ainsi, le gouvernement devrait accompagner les parents à remplir convenablement leur rôle et non leur usurper leur responsabilité.

L’intimidation

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Éric Lanthier, M. Éd.

Leblogueur!

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