Au Québec, les services à domicile sont de plus en plus offerts par des préposés aux bénéficiaires issus du secteur privé. C’est le moyen que l’État utilise pour répondre aux besoins des patients.
Faire attendre les patients est loin d’être une solution optimale. Selon Germain Belzile et Nathalie Elgrably-Lévy:
« Devoir attendre pour se faire soigner occasionne de nombreux coûts: perte de productivité, détérioration de l’état de santé du patient, hausse de la mortalité, etc. »
En ce qui a trait à l’accès aux soins pour les patients, les systèmes mixtes de l’OCDE obtiennent habituellement de bien meilleurs résultats que le Canada. Nous aurions intérêt à nous inspirer de leurs démarches.
Quoiqu’il en soit, c’est dans la bonne humeur que j’en ai discuté avec Jean-Ernest Pierre, l’animateur de l’émission Billet de retour diffusée sur les ondes de CJMS \ 1040 AM et de CPAM \ 1410 AM.
J’ai, par ailleurs, débattu avec lui du contenu de cet article sur la criminalisation des thérapies de conversion que je publierai sur les pages de Québec nouvelles.
Merci de nous faire part de vos commentaires en bas de l’écran dans l’espace réservé à cette fin.
Éric Lanthier, chroniqueur politique et social