Même si elle réconforte, le gâte et le cajole son fils, la mère surprotectrice s’avère passablement angoissée et lui transmet du même coup sa vision pessimiste des relations humaines. Cela a pour effet de renforcer chez lui différentes formes d’anxiété et possiblement une dépendance affective. Évidemment, elle aurait tendance à exagérer tous les dangers, affectifs et matériels. La contrepartie est que son fils risque de grandir dans l’anxiété, de vivre de l’immaturité affective et malheureusement, de la culpabilité.
