Ce texte est la traduction officielle de THE GREATEST GIFT YOU CAN GIVE YOURSELF; il a été publié dans un collectif qui a pour titre: Love and Coaching: Understanding Men & Women in Life, Love and Business.
Éric Lanthier est un aumônier et aussi un coach diplômé de Mars Venus Coaching. Il est habitué à discuter de l’actualité sur les réseaux sociaux et diverses plateformes écrites ou orales. Jusqu’à tout récemment, il animait des émissions sur plusieurs stations de radio en plus de rédiger des articles pour les pages francophones du Prince Arthur Herald, du HuffPost Québec et de Québec nouvelles. Maintenant, il développe les principes de l’intelligence genrée sur trois stations de radio et sur les médias sociaux.
Au fil des années, Éric a soutenu plusieurs causes, fondé des organismes sans but lucratif et s’est engagé en politique. Il est diplômé en éducation, en administration scolaire, en rédaction, en communications sociales, en théologie pastorale et en coaching. On peut le joindre par le biais de plusieurs moyens, dont son site Web: https://ericlanthier.net/
Un artiste avec une toile vierge
Au cours de mon enfance et encore plus tard dans ma jeunesse, j’étais l’artiste de la famille. Je jouais de la basse, je me produisais dans des pièces de théâtre et je faisais même partie d’une troupe d’improvisation. Dans mon adolescence, j’écrivais des poèmes. Souvent, dans un bar, les serviettes de papier me servaient de feuilles pour écrire, et mes amis se moquaient bien de moi. J’aimais l’écriture. Au tournant du siècle, hier, à mes yeux, j’ai suivi un cours de rédaction, lors duquel, un excellent coach m’a aidé à améliorer ma plume.
Au fil de ma vie, je pensais cheminer sur la bonne voie jusqu’à ce qu’un événement dramatique et bouleversant vienne tout changer. Ma première femme souffrait d’une profonde dépression depuis de nombreux mois. Le problème avait commencé en novembre 2012, et le 6 avril 2013, elle a mis fin à ses jours. Perdre ma femme a été la plus grande tragédie que j’ai jamais vécue. Après son suicide, je savais que je devais m’approprier une nouvelle identité en dehors d’elle. Nous avions été mariés depuis 25 ans, et désormais, je devais me retrouver avec moi-même et faire face à une solitude soudaine que je n’avais pas choisie et que j’ai trouvée très pénible. À ce moment-là, que j’aie perdu quoi que ce soit d’autre — ma maison, mes biens, ma réputation — n’aurait rien signifié pour moi, qui était brisé, privé de la moitié de moi-même, de la personne que j’estimais le plus dans ma vie.
Elle avait toujours su écouter et elle était douée pour faire parler les gens. Cependant, en ce qui concerne notre relation, elle la trouvait difficile parce que je n’étais pas connecté à mes émotions. Après sa mort, j’ai suivi une thérapie, et j’ai alors changé la vision que j’avais de moi-même et de la réalité. J’ai donc commencé à me connecter davantage à mes émotions. Grâce à cet ajustement, il m’a été plus facile de me connecter davantage aux émotions des autres et de poser de meilleures questions plus signifiantes. Au lieu de dire « qu’est-ce que tu penses de telle ou telle chose? », je demandais : « Que ressens-tu à ce sujet? » J’ai essayé de rendre mon discours plus émotionnel, moins rationnel, et ce changement dans ma communication m’a aidé à créer un impact plus important chez ceux à qui je m’adressais. Du même coup, il a approfondi ma compréhension de l’autre, et j’ai réalisé que les véritables défis auxquels nous sommes tous confrontés sont plus émotionnels que rationnels.
L’énergie est toujours alimentée par l’émotion, et lorsqu’une personne se sent dépassée, elle a du mal à être performante et à effectuer les changements nécessaires pour mieux réussir. C’est pourquoi j’encourage toujours mes clients à parler de leurs émotions. Lorsqu’ils le font, ils repartent avec le sourire. Ils se sentent revigorés. Ils ont un nouvel espoir. De telles réalisations me sont très précieuses, et si je peux aider quelqu’un à atteindre une meilleure qualité de vie, j’ai le sentiment d’avoir accompli mon devoir de coach.
Après le décès de ma femme, j’ai dû apprivoiser ma solitude et j’ai réalisé que ma vie était désormais une page blanche. Je me sentais aussi libre qu’un oiseau et je pouvais aller n’importe où et faire ce que je voulais. La liberté est plaisante, mais elle peut aussi être effrayante. Avoir trop d’options peut nous submerger et nous empêcher d’avancer. Toutefois, je n’ai pas laissé la crainte de l’avenir me paralyser. Au lieu du statu quo, j’ai opté pour le retour à l’école et j’ai obtenu un certificat en communication pour pouvoir commencer une carrière à la radio. J’ai également commencé à écrire un livre, que j’ai presque terminé, sur le combat de ma femme contre l’anxiété et la dépression. Lorsque je l’aurai terminé, j’écrirai un deuxième livre sur la vie après la mort, dans lequel j’expliquerai comment j’ai relevé le défi de perdre pour toujours quelqu’un de si proche. J’y parlerai aussi de la gratitude que j’éprouve pour avoir pu recommencer ma vie. Je suis maintenant remarié et récemment devenu grand-père. Mon but en écrivant ces livres est de donner de l’espoir aux personnes qui ont perdu quelqu’un par la voie du suicide, car en tant que survivants de cette tragédie, nous avons une expérience qui peut en encourager d’autres qui traversent une telle épreuve.
Quand le coaching devient naturel
Avant de découvrir le centre de formation Mars Venus Coaching, j’étais déjà un coach depuis plus de 30 ans. J’ai accompagné des enseignants, des responsables ecclésiastiques et des entrepreneurs. Cependant, le coaching n’était pas mon objectif premier, mais après chaque séance, je retournais au bureau avec une joie de vivre dans mon cœur. Le coaching me semblait une chose naturelle et, finalement, j’ai décidé de me tourner vers ce métier qui m’apportait tant de satisfaction. J’étais conscient qu’il me manquait certains outils nécessaires pour être plus efficace, plus raffiné et plus perspicace. J’étais déjà un bon auditeur, mais il me fallait plus pour être en mesure d’aider véritablement les personnes qui allaient faire appel à mes services de conseiller, d’accompagnateur. J’ai donc commencé à explorer les ressources du milieu qui seraient aptes à enrichir mes compétences. Au début, je ne trouvais pas exactement ce que je recherchais, mais une conversation avec l’une de mes collègues à la radio a rapidement réorienté mon tir.
Étrangement, je participais à son émission pour expliquer les différences entre les hommes et les femmes dans le milieu du travail. Elle avait sa propre entreprise de coaching, qui était florissante et efficace, et j’avais envie de me lancer dans une aventure similaire. Les questions qu’elle m’a posées m’ont tout de suite éveillé à considérer des angles déterminants de mes aspirations qui allaient donner un sens à ma nouvelle carrière : « Quel est ton créneau? Qui souhaites-tu atteindre? Qu’est-ce qui te différencie des autres coachs? » À partir de ce moment-là, la réponse a été claire. Je voulais toucher les célibataires, les couples et les familles. À ce stade de ma recherche, j’étais convaincu que je devais trouver une école de coaching spécialisée dans l’intelligence genrée. Sans hésiter, j’ai consulté le site Web de Mars Venus Coaching pour connaître ce que cette entreprise pouvait offrir. J’ai fini par communiquer avec un représentant à leur siège social afin d’obtenir des renseignements supplémentaires sur le programme, sur la manière de s’inscrire et sur les possibilités qui s’offriraient à moi une fois que j’aurais obtenu mon diplôme. Après avoir parlé à Richard Bernstein, le PDG de la société, j’ai su que j’avais trouvé ma place. J’ai immédiatement compris que Mars Venus Coaching était une organisation qui avait un véritable désir de voir les couples marcher main dans la main vers le bonheur et la réussite. Comment l’ai-je compris? Rich voulait parler à ma femme pour savoir si elle considérait que j’avais ce qu’il fallait pour devenir coach et pour s’assurer qu’elle me soutiendrait à 100 % dans cette aventure.
J’avais, sans vouloir me vanter, ce qu’il fallait, et ma femme, heureusement, a entièrement soutenu ma décision. Une fois que j’ai été accepté dans le programme, j’ai suivi la formation de coaching de vie personnelle et celle pour les entrepreneurs avec Rich, qui m’a fourni les outils adéquats dont j’avais besoin pour travailler plus efficacement au bien de mes clients. Auparavant, je devais écouter une personne pendant plusieurs heures avant de trouver la clé libératrice qui la sortirait de l’engrenage de ses tourments. Maintenant, je dispose de moyens des plus efficaces, je sais poser les bonnes questions et je peux découvrir des données essentielles beaucoup plus rapidement. Avec l’aide des méthodes Mars Venus, j’ai pu accélérer le processus de coaching, ce qui signifie que je peux aider mes clients en moins de visites, qui est un avantage pour eux et du fait même, qui peut augmenter ma clientèle.
Les techniques que j’ai apprises sont simples à comprendre, faciles à expliquer, sans effort à utiliser et surtout, très puissantes. Les outils Mars Venus Coaching aident à clarifier l’état d’esprit du client, à cerner ses blocages et à comprendre ses besoins fondamentaux. Grâce aux principes de l’intelligence genrée, les porte-étendards de Mars Venus Coaching sont en mesure d’adapter leur vocabulaire et d’aborder chaque défi en fonction de leur client, de son genre et de son énergie de genre. La beauté de ces techniques est qu’elles ne sont pas statiques. Le parcours de chaque personne est différent, et les méthodes de coaching Mars Venus nous permettent de choisir l’approche la plus pertinente à un moment donné au cours d’une séance. J’essaie constamment de trouver la technique qui fera le plus efficacement possible avancer mon client dans sa démarche et celle qui lui apportera le plus de clarté. Avoir en main les bons outils et savoir quand les utiliser fait toute la différence.
En vérité, le plus grand atout d’un coach est son propre coach. Même lorsque je suis en vacances, je ne rate jamais mes séances hebdomadaires avec Rich. Sa sagesse est inestimable et me permet de gagner un temps précieux. Avant la mort de ma première femme, je considérais qu’une thérapie et le fait de devoir rendre des comptes à un coach étaient des punitions, quelque chose à subir quand on avait mal agi. Désormais, je crois de tout cœur au coaching. C’est un cadeau que je me fais à moi-même. Il est une chance pour moi de grandir, de devenir une meilleure personne et de vivre mieux. Beaucoup d’entre nous apprécions un massage parce qu’il nous fait sentir bien. Or, le coaching est un massage du cœur, et les bénéfices sont indéniables.
Raviver les liens, rallumer les feux
Ma première cliente en coaching m’a découvert lors d’une de mes émissions de radio, alors que je me servais du matériel de John Gray pour discuter des relations, de la parentalité et des affaires. Elle avait 70 ans et prévoyait de divorcer de son mari après 40 ans de mariage. Ce couple de retraités n’était plus amoureux, tous les deux vivaient en quelque sorte des vies séparées, et leur vie conjugale stagnait et était devenue ennuyeuse.
J’ai accepté de l’accompagner dans sa réflexion, et nous avons élaboré ensemble un plan de 90 jours, mais après seulement deux mois, elle était déjà redevenue amoureuse de son mari, et il ressentait le même regain d’affection pour elle. Pendant notre temps ensemble, je l’ai conseillée sur la façon de manifester à son conjoint qu’il occupait une grande place dans son cœur. Je lui ai également montré comment le faire sentir précieux et comment elle pouvait exprimer ses sentiments au-delà des mots. Jusque-là, son mari travaillait seul dans son garage toute la journée; par la suite, il a commencé à s’arrêter vers 10 heures du matin pour prendre un café avec elle, pour parler et écouter ce qu’elle avait à dire. De manière toute simple, ils avaient complètement ravivé leur connexion et leur relation. Cette expérience de coaching a été un moment de fierté pour moi, car cette septuagénaire était ma première cliente, et avec l’aide des méthodes de coaching Mars Venus, j’étais devenu l’instrument qui a reconnecté ce couple et qui a rallumé le feu de leur relation. Un amour profond entre les deux s’était ranimé. J’ai donc commencé ma carrière de coach par une victoire formidable, qui m’a donné confiance en mes capacités de conseiller et d’accompagner des personnes en mal de relation.
Mon approche du coaching est axée sur l’écoute et l’intuition. Au cours d’une séance, je tente d’amener le client ou la cliente à parler beaucoup pour pouvoir discerner ses besoins réels. Les gens engagent des accompagnateurs parce qu’ils veulent changer quelque chose et développer un meilleur état d’esprit, des relations plus fortes ou faire progresser leur carrière. Le changement qu’ils recherchent — en fait, celui dont ils ont vraiment besoin — est toujours lié à ce qu’ils sont, et l’écoute est le seul moyen de découvrir le véritable « bobo ». Il ne suffit pas d’entendre, il faut écouter attentivement et relier les points significatifs. Lorsque je discerne un lien important, je pose des questions, je laisse le client parler et je continue à écouter jusqu’à ce que nous découvrions une vérité plus profonde.
Mes clients savent que je suis concerné par leur situation et conscient de leurs besoins. Ils me disent souvent que je suis une bonne caisse de résonance et lorsque nous découvrons des informations cruciales, ils expriment leur stupéfaction par cette question : « Ouah, comment avez-vous découvert ça? » Et moi, de répondre : « Mais vous m’avez donné vous-même la réponse! J’ai simplement écouté. »
Je suis très patient avec les gens, et ceux qui me consultent ont souvent l’impression qu’ils peuvent me dire n’importe quoi. Je prends toujours des notes afin de pouvoir utiliser au moment opportun leurs propres formulations pour clarifier un point ou revenir sur une idée. Même si je peux exprimer ces paroles en mes termes, le fait de répéter leurs propres mots aide à mettre le doigt sur le grain de sable dans l’engrenage.
Depuis mon premier succès, j’ai aidé de nombreuses personnes en utilisant les méthodes de Mars Venus Coaching. À chaque rencontre, l’autre et moi faisons l’expérience d’une connexion émotionnelle indescriptible. J’ai été témoin de la façon dont la vérité nous libère des mensonges et des fausses croyances qui nous empêchent de grandir, de voir clair. Le témoignage d’une cliente est étampé dans ma mémoire, car il m’a profondément touché. Cette femme se sentait mal à l’aise à l’idée d’inviter des gens à s’impliquer dans son entreprise. Sa principale préoccupation résidait dans le fait que son entreprise n’était pas aussi florissante qu’elle le souhaitait. Je lui ai donc demandé : « Pourquoi vous impliquez-vous dans une entreprise dont les revenus ne rencontrent pas vos attentes? » Elle m’a répondu : « C’est parce que sur le plan personnel, relationnel et émotionnel, je m’enrichis. Cette entreprise contribue à mon enrichissement. »
« Voilà votre message! » ai-je dit. En l’écoutant, j’avais discerné la solution à son problème. Je voyais qu’elle avait besoin d’un peu plus de viande autour de l’os, alors j’ai ajouté : « Pourquoi ne recrutez-vous pas des employés qui recherchent un environnement de travail propice à leur développement personnel, relationnel et émotionnel? Si c’est ainsi qu’ils peuvent s’enrichir, pourquoi ne pas investir dans cette voie? » Ses yeux ont brillé comme jamais auparavant. La clé était là depuis le début; elle avait juste besoin de quelqu’un qui allait lui offrir une nouvelle perspective. La beauté du coaching est qu’il active le recul plus rapidement. En une seule conversation, nous pouvons économiser des jours, des semaines, des mois et parfois des années de réflexion. Notre problème souvent est de manquer de perspective. En discuter avec un professionnel du coaching reconfigure les éléments qui composent notre présent et nous oriente vers un avenir plus fructueux.
Le don du coaching
Le matériel de John Gray est puissant, car il touche aux réalités de la vie et des relations. Bien que M. Gray ait écrit son premier livre il y a plusieurs dizaines d’années, son contenu est toujours actuel, pertinent, concret et transformateur. Les méthodes de coaching Mars Venus m’ont aidé à devenir apparemment un meilleur coach, et je suis reconnaissant à John de son dévouement au concept d’intelligence genrée. Savez-vous pourquoi je crois si fort à ces principes? Parce que, lorsque je les ai appliqués à mon propre mariage, ils ont fonctionné, et je continue à les voir fonctionner dans la vie de mes clients.
Un bon coach est prompt à écouter mais lent à parler. Plus j’écoute, plus je suis en mesure de détecter les signaux d’alarme, les contradictions et ces pépites d’or si importantes. Ma philosophie est celle de la cohérence et du non-jugement. Lorsque mes clients sentent que je ne juge pas leurs croyances ou leurs valeurs, ils sont prêts à partager ce qu’ils vivent avec une grande authenticité. Je crois fermement qu’un environnement sans jugement nous permet d’exprimer ce qui existe au fin fond de nous-mêmes. La vérité nous libère, et pour qu’elle puisse être exprimée, le client doit se sentir en sécurité. J’ai entendu des personnes confesser des choses profondément intimes parce qu’elles ne se sentaient pas jugées. Je ne tombe jamais dans le piège de les enfermer dans des cases. Je suis là pour les guider vers une prise de conscience de ce dont elles ont besoin pour avancer et grandir. Je ne fais rien de magique. J’écoute attentivement, je pose des questions, je prends des notes et je me tais pour ne parler qu’aux moments favorables. Le coaching ne se réduit pas à un ensemble de conseils basés sur des stratégies apprises, il est un art. Comme tout travail artistique, pour obtenir le résultat espéré, il requiert obligatoirement de l’inspiration, de l’intuition et des outils appropriés.
Aussi étrange que cela puisse paraître, le but d’un coach n’est pas d’offrir des solutions miracles. Il est là pour aider à clarifier le présent. Plus une personne prend conscience des véritables défis auxquels elle est confrontée, mieux elle peut comprendre où elle se tient, comment elle y est arrivée et où elle s’en va. Lorsqu’elle sent qu’elle va dans la bonne direction, rien ne peut l’arrêter. Le coaching est une source de vitalité autant pour moi qu’il peut l’être pour les personnes qui viennent me voir, car il facilite la connexion avec ce qu’il y a de plus authentique chez l’humain. Cette connexion est ce qui me donne de la profondeur dans mes communications médiatiques — si celles-ci vous intéressent, la plupart sont offertes sur mon site Web.
Je pense que tout le monde devrait s’offrir les services d’un coach au moins tous les cinq ans. Parfois, la routine peut nous paralyser, provoquer une stagnation et freiner notre croissance. Pour vivre une vie qui a du sens, nous devons changer nos habitudes, rechercher des vérités et modifier la réalité. Cependant, faire ces choses demande du courage, et le coaching nous procure un appui et nous donne la force et l’énergie nécessaires pour accepter les défis que nous devons relever. Une séance de coaching est l’un des plus beaux cadeaux que vous puissiez vous offrir, et il est un cadeau que tout le monde mérite.
FIN
Révision linguistique : Carolle Dea, 514.777-7150
La version originale est offerte sur : https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/416TgBPvWoL._SX331_BO1,204,203,200_.jpg